Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Au temps pour moi.
30 janvier 2007

Si ça ne t'embête pas.

Si ça ne t’embête pas, j’aimerais pas à pas m’approcher de toi. J’ai en moi une inquiétude qui ne se laisse pas dire, des sourires qui ne savent comment sortir. Viens là et l’inquiétude se montre et se dit, déjà s’affaiblit, viens là et quelque sourire te cherche et passe l’orée, devient trop grand pour rester caché. Va-t-en et rien ne disparaît, car tu reviendras. Si ça ne t’embête pas, approche-toi et dis-moi qui doit faire le dernier pas. Dis-moi, si vraiment je m’approchais, quand me dirais-tu Ne bouge pas ?
Quand tu t’en vas rien ne disparaît mais s’ajoute la petite peur, la petite peur que tu sois heureuse ailleurs, mieux heureuse que près de moi. Je pense : Je n’ai pas peur de son bonheur : mais de ne pas y être ; je ne pense pas : Je veux ton bonheur : donne-le moi. Je te dis Je voudrais que tu sois heureuse, c’est ma petite promesse, alors tu souris à ma gentillesse et moi j’avance d’un pas. Juste d’un pas alors ne t’affole pas, tu sais, c’est un joli prénom que tu as.

Publicité
Publicité
Commentaires
K
Je suis désolé, je n'arrive pas à répondre. Je n'ai que "Je ne sais pas"...
L
Je pensais aussi que le réel était moins beau... mais finalement, je me suis apperçue que non... mais il faut le vouloir un peu...
K
Si j'écrivais réel, ce serait moins beau, c'est sûr...
L
je trouve ça si beau... que c'est dommage...
K
Malheureusement je ne suis pas certain que cela fonctionne. Si j'avançais plus, il est probable que j'entende "Plus un pas". C'est dans l'imaginaire que j'apprivoise le mieux.
Au temps pour moi.
Publicité
Au temps pour moi.
Derniers commentaires
Publicité