2 avril 2007
Monde, étonne-moi.
De lâcheté sans regarder
en lassitude inavouée, j’ai causé du malheur parfois, peut-être un bonheur une
fois, croyez-moi : je m’en veux de ce que je ne peux, mais, mais je m’en
vais, je repars, avec pour seuls bagages des regrets déjà usés et ma vie à
repriser – il n’est pas trop tard. J’ai retrouvé un Je t’aime sur du papier, que j’avais oublié, que j’ai ensuite jeté.
Je vais faire semblant d’y croire pour commencer, que demain est un autre
espoir, je vais tenter, car : sait-on jamais ? je peux encore
changer.
Publicité
Publicité
Commentaires
S
T
K
V
A