18 mars 2007
Au revoir et merci.
Seule la mort au loin m’observe. Vos yeux s’ouvrent sur moi parfois, le temps de se servir ou juste d’un soupir, se ferment si facilement pour en finir – disparaître, déguerpir –, puis, finalement, se rouvrent ailleurs – silencieusement fuyants. J’existe...